J’ai perdu la possibilité de faire de la publicité à l’heure de pointe, mais au moins je peux garder ma fenêtre ouverte, et comme je n’ai pas encore l’air conditionné, ça tombe bien. Quelle phrase le prouve ? Le notaire est un personnage ému, proche de la mère. b. Dans la réplique d’Hermile Lebel, quelles expressions confirment cette information ? Entrez, entrez, entrez ! Tout au plus sait-on que c’est un pays chaud, dans lequel il ne pleut pas beaucoup. Je veux dire que ça reste un mal nécessaire. Lecture Analytique : Incendies, Wajdi Mouawad, Amitiés. Scorched (or "incendies" in French) is almost 100 pages book, written by Wajdi Mouawad and produced as Play in the first place. A quelle ligne utilise-t-il le terme précis désignant l’événement ? On pense qu’elle viendra plus tard, puis elle vient quand elle veut » ? Il apprend qu’ils ont été d’abord recueilli par Chamseddine lui-même, qui les a appelé Janaane et Sarwane, et que Nihad, leur frère, est aussi Abou Tarek, leur père. Ça m’a fait beaucoup de peine qu’il pleuve. Le texte qui fait l’objet de notre étude est la scène d’exposition de la pièce de théâtre incendies, écrite par Wajdi Mouawad en 2003. Le notaire commente la situation, en philosophant. Elle a nommé Hermile Lebel comme exécuteur testamentaire et confie aux jumeaux, à travers son testament, une ultime quête. En 2010, Denis Villeneuve adapte la pièce au cinéma sous le même titre[2]. C’est pas comme les oiseaux, un testament, c’est sûr, c’est autre chose. INTRODUCTION. C’est étrange et bizarre mais c’est nécessaire. Au début de l’année 2001, Mouawad invite Josée Lambert à un « lundiduda », des représentations organisées chaque mois au théâtre de Quat’Sous par Mouawad lui-même (p. 137). Incendies est donc une pièce importante dans le paysage du théâtre de l’extrême contemporain. De plus, il remporte neuf prix à la 13e cérémonie des Jutra.<br /> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});<br />. Nawal naît au Liban. La mort, ça n’a pas de parole. Progressivement, des informations sont données : d’abord, nous apprenons qu’il parle à quelqu’un (« votre mère ») ; par la suite, nous devinerons qu’il parle à deux autres personnages (« Elle disait : les jumeaux ») ; enfin, qu’il s’agit d’un homme et d’une femme (« Elle disait la jumelle, souvent aussi le jumeau »). Il a un langage qui ne correspond pas à sa fonction, à son rang social. Elle m’a souvent parlé de vous. Comme ça. Les impératifs nous permettent de remarquer que les deux personnages ne veulent pas ou hésitent à entrer : elles restent dans le hors-champ (hors-scène), malgré l’invitation réitérée du notaire. Elle détruit toutes ses promesses. Cette place centrale reflète l’importance que Wajdi Mouawad accorde à l’épisode de l’incendie du bus, qu’il réécrit d’ailleurs avec des variantes dans son roman Visage retrouvé et l’adaptation théâtrale de celui-ci, Un obus dans le cœur. Les autres notaires sont partis. Un seul personnage est présent sur scène. Wajdi Mouawad/Stanislas Nordey, deux univers singuliers et pourtant complices réunis par un même texte (Incendies), une histoire foisonnante où les mots disent plus qu’ils n’enlèvent.Comment un metteur en scène dont l’approche des textes se caractérise par une forme de distance s’empare-t-il d’une pièce à forte intensité émotionnelle ? À son procès, il évoque le petit nez de clown, seule chose qui lui reste de sa mère, et c’est ainsi que Nawal, suivant les procédures, apprend que son violeur est aussi le fils qu’elle a tant cherché, car elle avait laissé à ce dernier un petit nez de clown. Je ne veux pas vous parler de votre mère à cause du malheur qui vient de frapper, mais il va bien falloir agir. Ton analyse m’a vraiment passionnée. La didascalie initiale précise dans quel lieu se déroule cette scène, de même que le titre : « 1. L’exemple le plus marquant est la scène 33 intitulée « Les principes d’un franc-tireur » (p. 115-116), où Nihad/Abou Tarek imite un présentateur américain dans un anglais approximatif contaminé par le français. Elle détruit toutes ses promesses. Notre analyse portera sur les éléments dramaturgiques de la pièce qui appartiennent au courant de l’extrême contemporain. b. Quelle est la figure de style utilisée dans les phrases suivantes :  » Elle détruit toutes ses promesses. Allant encore plus loin, il fait parfois se rencontrer les deux époques dans une même scène. Quand elle est libérée, elle quitte le pays avec son enfant. Là, je suis de ce côté-ci et j’ai une vue sur le centre d’achats. Cela lui permet de retourner en France dans le cadre de la présentation de sa pièce. A l’heure de pointe ça me faisait une méchante publicité. On pense qu’elle viendra plus tard, puis elle vient quand elle veut » ? Elle fait partie de mes préférées aussi. 4. Il en veut à sa mère pour avoir sombré dans le silence et refuse d’abord d’aller à la recherche de son frère. Un centre d’achats ce n’est pas un oiseau. Ainsi, jamais les pays ne sont nommés (p. 151). Quand les autres se font torturés, elle chante, et obtient alors le surnom de la femme qui chante. PRÉSENTATION ET SITUATION DU PASSAGE. C’est votre mère qui m’a appris qu’il fallait dire un oiseau. Le choix de la saison s’explique sans doute par le fait que l’auteur a voulu insister sur le caractère lourd, pesant, de la situation : le notaire doit évoquer la mort de la mère des jumeaux (et sans doute la succession de celle-ci). Cette scène d’exposition apporte très peu d’informations concernant le personnage de la mère. Un centre d’achats ce n’est pas un oiseau. Wajdi Mouawad. Traitant, entre autres, de la question des origines, du cycle de la haine et de la violence inhérente à la guerre ainsi que du pouvoir de la connaissance, la pièce Incendies, sortie en 2003, deuxième volet de la tétralogie Le Sang des promesses, a connu un succès international. Dès la première page du texte, plutôt que de dire « la mer à boire », il dit « la mer à voir » (p. 13). est mystérieuse, dans la mesure où elle apporte très peu d’informations, mais elle nous renseigne tout de même. C’est étrange et bizarre mais c’est nécessaire. Wajdi Mouawad : une identité multiple 3 Repères biographiques et historiques 2. Relevez-les. « ), de quoi parle-t-il ? » Être silencieux se concevrait comme l’antithèse de la parole. Maintenant faut pas se raconter de racontars : d’ici, à défaut d’oiseaux, on voit les voitures et le centre d’achats. Tandis que Simon refuse d’abord de se prêter au jeu, Jeanne, elle, part en quête de ses origines au Liban. Méthode : comment faire une fiche de révision ? C’est sûr(…) ça tombe bien. En 1983, lorsque Mouawad a 15 ans, la famille quitte la France pour le Québec. Cependant, dans le théâtre de l’extrême contemporain, il est impossible de distinguer un héros ou un méchant au sens habituel, car l’extrême contemporain porte l’idée que tout le monde est à la fois bourreau et victime. Maintenant faut pas se raconter de racontars. l’enfer est pavé de bonnes circonstances, alors c’est plutôt difficile de prévoir. Ainsi, le dramaturge mélange habilement passé et présent, toujours de manière à apporter une plus grande profondeur symbolique, sans que les transitions soient abruptes. : lecture analytique n° 17 : Victor Hugo, Le Dernier jour d’un condamné, Indignez-vous ! b. Ici, c’est beaucoup plus agréable parce qu’il y a moins de bruit, l’autoroute est de l’autre côté. De cette époque à aujourd’hui, Mouawad monte une foule de pièces de genres variés, dont des pièces qu’il a écrites lui-même (Coissard, p. 14). C’est en quittant Bechara que Mouawad se dit qu’il serait intéressant pour la résistante d’avoir des jumeaux plutôt qu’une fille (p. 151). La mort, ça ne se prévoit pas. C’est sûr, c’est sûr, c’est sûr, j’aurais bien mieux aimé vous rencontrer dans une autre circonstance mais l’enfer est pavé de bonnes circonstances, alors c’est plutôt difficile de prévoir. Raconter, témoigner, consoler : composition et fonctions d’Incendies 6 Étude d’ensemble 1 4. Depuis l’affaire Cantat, Wajdi Mouawad s’est fait discret au Québec, mais est pourtant très actif à Paris, où il dirige le théâtre La Colline. Plus précisément, l’un de ces documentaires, intitulé Souha, survivre à l’enfer, s’attarde, comme le titre l’indique, à la résistante libanaise Souha Bechara. À noter, ce personnage permet l’introduction d’une touche d’humour dans la pièce, entre autres par le détournement d’expressions communes. Quand il est promu au poste de chef de la prison, Nihad devient Abou Tarek. Cette scène est la première scène de la première partie de la pièce Incendies. Le notaire prononce des maximes, des commentaires assez généraux sur la question de la mort. C’est mon nouveau bureau. La scène 19 est située au cœur de la pièce, qui en compte 38. Sa quête le mène auprès d’un individu nommé Chamseddine, qui lui révèle que leur frère, Nihad Harmanni, n’est pas l’enfant né du viol de Nawal par Abou Tarek, que c’est Jeanne et lui qui le sont. Wajdi Mouawad est dramaturge et metteur en scène québécois[1]. Ensuite, il y a Mansour, le guide de la prison de Kfar Rayat transformée en musée. b. Que révèle Hermine Lebel au sujet de la mère ? Au fil de son récit, Lambert en vient à raconter l’histoire de Souha Bechara, emprisonnée à Khiam pour avoir tirée deux balles sur Antoine Lahad, le chef de l’Armée du Liban-Sud (ALS) (p. 139). L’oiseau est aussi opposé au cadre dans lequel le notaire travail : le centre d’achats et l’autoroute. Malak, bien qu’il n’apparaisse que dans une seule scène, joue un rôle pivot. Je vous dis ça comme ça, de long en large : j’aimais votre mère. elle ne disait jamais rien à personne. Fasciné par la femme qui chante, il se garde de la tuer et la viole à répétition. La réplique du notaire contient des tournures orales (des négations incorrectes). Incendies - WAJDI MOUAWAD - 27 & 28 MARS 08 Les Fiches Pédagogiques du Service Éducatif de la Scène Nationale de Châlons en Champagne INCENDIES de et mis en scène par Wajdi Mouawad J’y emmène mes élèves ! Voici le retour de l’enfant prodige. »), de quoi parle-t-il ? C’est en effet sur son conseil que celle-ci apprend à lire et à écrire, entre autres pour pouvoir graver le nom de sa grand-mère sur sa tombe, mais aussi pour rompre le cycle de la violence et de la haine par la connaissance. UNE INTRODUCTION ET UNE CONCLUSION REDIGEES PAR UN ELEVE. Le texte qui fait l’objet de notre étude est la scène d’exposition de la pièce de théâtre incendies, écrite par Wajdi Mouawad en 2003. La pièce obtient un immense succès et est adaptée en russe en 2007 au théâtre Et cetera à Moscou (Coissard, p. 15). a. Relevez les termes appartenant au champ lexical de la parole, des lignes 23 à 25 («. Le temps de la pièce est donc un temps dilaté, à la signification symbolique (p. 157), tel qu’illustré par des repères temporels abstraits comme « Nous sommes au début de la guerre de cent ans » (p. 76). Plus tard, elle apprend que son violeur est le fils qu’elle cherchait. Parfois. b. Quelles informations Lebel apporte-t-il en ce qui concerne le quartier ? Ah oui, nous faisons aussi : II. Le Liban, par exemple, n’est jamais mentionné textuellement (p. 153). Au moment où il donne plus clairement l’information, il utilise une anaphore afin de souligner la gravité de la situation. l’enfer est pavé de bonnes circonstances, alors c’est plutôt difficile de prévoir. Peu de temps après, Nazira, sa grand-mère, meurt, mais pas avant de lui prodiguer des conseils. Dans la postface de l’édition de Babel parue en 2009, on apprend qu’à l’origine de la pièce Incendies il y a la prison Khiam[3]. Alcools (1913) de Guillaume Apollinaire : descriptif de la séquence, Traité sur la tolérance (1763) de Voltaire : les combats des Lumières, Traité sur la tolérance (1763) de Voltaire : Voltaire : biographie et bibliographie ; la notion d'engagement, Traité sur la tolérance (1763) de Voltaire : les procédés de persuasion, Traité sur la tolérance (1763) de Voltaire : lecture cursive de Candide (1759), Traité sur la tolérance (1763) de Voltaire : lecture analytique n° 16 : "Prière à Dieu", Traité sur la tolérance (1763) de Voltaire : texte intégral, Traité sur la tolérance (1763) de Voltaire : lecture analytique n° 15 : "De la tolérance universelle", Traité sur la tolérance (1763) de Voltaire : lecture analytique n° 14 : lettre écrite au Jésuite Le Tellier par un bénéficier, le 6 mai 1714, Traité sur la tolérance (1763) de Voltaire : lecture analytique n° 13 : le supplice de Jean Calas, Traité sur la tolérance (1763) de Voltaire : le Frontispice de l’Encyclopédie, dessiné par Charles-Nicolas Cochin (1715-1790), Traité sur la tolérance (1763) de Voltaire : la construction du livre, Traité sur la tolérance (1763) de Voltaire : L'Affaire Calas (2007) de Francis Reusser et Alain Moreau, Traité sur la tolérance (1763) de Voltaire : l'affaire Calas, Traité sur la tolérance (1763) de Voltaire : comparaison du sermon du prêtre et du discours de Voltaire racontant le supplice de Calas, dans le film L'Affaire Calas (2007) de Francis Reusser et Alain Moreau, Incendies (2003) de Wajdi Mouawad : lecture analytique n° 4 : lettre d'une mère à ses enfants, Incendies (2003) de Wajdi Mouawad : lecture analytique n° 3 : la scène de l'autobus, Incendies (2003) de Wajdi Mouawad : lecture analytique n° 2 : les amants maudits, Incendies (2003) de Wajdi Mouawad : lecture analytique n° 1 : le notaire, Incendies (2003) de Wajdi Mouawad : textes de Wajdi Mouawad, Incendies (2003) de Wajdi Mouawad : entretien avec le metteur en scène Stanislas Nordey, Incendies (2003) de Wajdi Mouawad : l'intertextualité avec Shakespeare, Sophocle et Ovide, Incendies (2003) de Wajdi Mouawad : deux mises en scène d'Incendies, Incendies (2003) de Wajdi Mouawad : Oncle Vania (1897) d'Anton Tchekhov, Incendies (2003) de Wajdi Mouawad : Valse avec Bachir (2008) d'Ari Folman, Incendies (2003) de Wajdi Mouawad : la couverture de l'édition Babel, l'affiche du film de Denis Villeneuve, Incendies (2003) de Wajdi Mouawad : Incendies (2010) de Denis Villeneuve, Incendies (2003) de Wajdi Mouawad : Prix Godot des lycéens, Incendies (2003) de Wajdi Mouawad : Wajdi Mouawad, un auteur contemporain à la croisée des cultures, Incendies (2003) de Wajdi Mouawad : Le contexte historique (l'histoire du Liban) et les sources de la pièce (Souha Bechara), Incendies (2003) de Wajdi Mouawad : les personnages, Incendies (2003) de Wajdi Mouawad : les mises en scène, Incendies (2003) de Wajdi Mouawad : Espía a una mujer que se mata de Daniel Veronese, Incendies (2003) de Wajdi Mouawad : une tragédie contemporaine, Incendies (2003) de Wajdi Mouawad : la structure de la pie?ce, Incendies (2003) de Wajdi Mouawad : étudier la construction d'un personnage, Les yeux se rencontrèrent : lecture analytique n° 5 : la rencontre avec Madame de Warens, Les yeux se rencontrèrent : lecture analytique n° 6 : la rencontre de Madame Arnoux, Les yeux se rencontrèrent : lecture analytique n° 7 : la demande en mariage de Georges Duroy, Les yeux se rencontrèrent : scènes de demande en mariage, Les yeux se rencontrèrent : deux mouvements littéraires : le réalisme et l'absurde, Les yeux se rencontrèrent : Rousseau, Flaubert et Camus, Les yeux se rencontrèrent : comparaison de l'extrait de La Duchesse de Langeais (1834) de Balzac et de deux adaptations télévisées et cinématogaphiques, Les yeux se rencontrèrent : Honoré de Balzac, La Duchesse de Langeais, Les yeux se rencontrèrent : sujet de dissertation, Les yeux se rencontrèrent : le topos de la rencontre amoureuse, Un Roi sans divertissement (1947) de Jean Giono : lecture analytique n° 11 : l'explicit, Les yeux se rencontrèrent : définitions : les focalisations dans le roman ; les paroles rapportées ; la mise en abyme, Un Roi sans divertissement (1947) de Jean Giono : lecture analytique n° 8 : l'incipit, Un Roi sans divertissement (1947) de Jean Giono : lecture analytique n° 9 : le hêtre de la scierie, Un Roi sans divertissement (1947) de Jean Giono : lecture analytique n° 10 : la battue au loup, Un Roi sans divertissement (1947) de Jean Giono : figures maternelles, Un Roi sans divertissement (1947) de Jean Giono : Jean Giono et le projet des Chroniques, Un Roi sans divertissement (1947) de Jean Giono : l'intertextualité, Un Roi sans divertissement (1947) de Jean Giono : d'Un Roi sans divertissement à Noé, Un Roi sans divertissement (1947) de Jean Giono : Jean Giono, un écrivain qui dépeint la condition de l'homme dans le monde, Un Roi sans divertissement (1947) de Jean Giono : la scène finale de Pierrot le fou (1965) de Jean-Luc Godard, Un Roi sans divertissement (1947) de Jean Giono : Albrecht Dürer, La Melencolia (1514), Un Roi sans divertissement (1947) de Jean Giono : Guy de MAUPASSANT, Bel-Ami (1885), Un Roi sans divertissement (1947) de Jean Giono : les lieux, réels et imaginaires, Un Roi sans divertissement (1947) de Jean Giono : la structure du roman, Un Roi sans divertissement (1947) de Jean Giono : les personnages, Un Roi sans divertissement (1947) de Jean Giono : le sens du roman, Un Roi sans divertissement (1947) de Jean Giono : étude comparée du roman et de l'adaptation cinématographique d'Un Roi sans divertissement (1963), de François Leterrier, scénario de Jean Giono, Indignez-vous ! b. Quelle phrase répétée par le personnage révèle la nature de leur relation ? 24 août 2017 30 décembre 2017 Daphn ... elle apporte des détails précis et une analyse personne. La scène d’exposition ne dévoile pas toutes les informations dès le début : la mort n’est évoquée qu’à la fin de la tirade. Quel est cet animal ? Le livre publié par . J’emménage. C’est un personnage comique malgré lui, qui apporte une touche de détente dans ce climat très tendu (il est question de mort, il faut chaud). De même, il faut mentionner que la chronologie globale de l’histoire ne correspond pas à celle de la guerre du Liban (p. 155). On pense qu’elle viendra plus tard, puis elle vient quand elle veut » ? C’est pas comme les oiseaux, un testament, c’est sûr, c’est autre chose. Certaines négations prononcées par le notaire sont grammaticalement fautives. SUPPORT. En fait pas souvent, mais elle m’a déjà parlé de vous. Jihane, sa mère, refuse qu’elle garde l’enfant et elle est donc forcée de le donner à sa naissance. 8. Le notaire ». Elle attise aussi la curiosité du spectateur ou du lecteur. Enfin, le travail de la langue se manifeste aussi dans Incendies d’une manière qui lui est propre à travers le personnage d’Hermile Lebel, notamment par sa déformation des expressions courantes. Il s’agit d’informer le lecteur/spectateur progressivement. Ça m’a fait beaucoup de peine (…) un mal nécessaire. Comme ça. Ici, ils sont donc tous bourreaux et victimes. Dès 1991, il met en scène un texte à lui, soit Partie de cache-cache entre deux Tchécoslovaques au début du siècle (Coissard, p. 14-15). Elle disait la jumelle, souvent aussi le jumeau. Au lundiduda, Lambert raconte l’histoire de la prison à Mouawad, qui n’en avait jamais entendu parler. : Beaumarchais et Hugo : des auteurs engagés, Indignez-vous ! Au cours de la guerre, des milliers de Libanais et de Palestiniens sont emprisonnés de manière arbitraire.